Oui bien sûr. Il faut s’adresser au gestionnaire de la route concernée :
Pour le milieu urbain, contactez la commune concernée (c’est elle qui est
responsable de son réseau routier)
Pour les routes en rase campagne, hors domaine des Eaux et Forets, contactez les
services du Ministère de l’Equipement et des Transports. Vous pouvez enregistrer
votre demande sur le site. Dans ce cas veuillez préciser où se trouve la
dégradation : le N° de la route et le Pk ou bien la liaison. Par exemple :
Il faut s’adresser au gestionnaire de la route concernée : Pour le milieu urbain, contactez la commune concernée (c’est elle qui est responsable de son réseau routier) Pour les routes en rase campagne, hors domaine des Eaux et Forets, contactez les services du Ministère de l’Equipement et des Transports. Vous pouvez enregistrer votre demande sur le site. Dans ce cas veuillez préciser où se trouve la dégradation : le N° de la route et le Pk ou bien la liaison. Par exemple : Il suffit de chercher la borne kilométrique la plus proche qui vous indique la distance qui reste à parcourir pour arriver à une ville. Sur la face latérale à la chaussée, vous allez voir en première ligne le N° de la route et en deuxième ligne le Pk .
Le nombre de chiffre du numéro en haut en face de la route permet de savoir
s’il s’agit d’une route nationale ou régionale ou provinciale. 1 à 2 chiffres :
c’est une route nationale ; 3 chiffres : c’est une route régionale ; 4
chiffres : c’est une route provinciale.
Ces équipes travaillent dans la limite de leur responsabilité. Ils ne peuvent
empiéter sur la responsabilité des autres. Par exemple, les communes, les Eaux
et Forêts ont leur propre budget et leurs propres équipes et chacun agit dans le
cadre de ses responsabilités.
La largeur de la route dépend du trafic. Lorsque le trafic prévisionnel est
très faible, on préfère construite une route étroite pour économiser. Lorsque le
trafic atteint un certain seuil, on procède à l’élargissement de la route. Ce
sont les études qui nous aident à prendre les bonnes décisions en tenant compte,
entre autres, des coûts et de la fonction de la route.
Plusieurs facteurs contribuent à la dégradation de la route. Citons les
causes les plus rencontrés : les glissements de terrain, les surcharges des
camions poids lourds et l’eau.
Le glissement de terrain est un phénomène naturel rencontré, surtout au Nord du
Maroc. C’est une zone géologiquement instable. Les études et mesures effectuées
par le CNER (Centre d’Etudes et de Recherches Routières) ont permis de constater
des zones où le terrain bougent sur une profondeur de …..m. L’idée maîtresse
retenue est d’éviter autant que faire se peut les zones les plus instables déjà
identifié et rester vigilant pour réparer le plus rapidement possible les
sections de routes dégradées à cause du glissement. Les Directions Régionales et
Provinciales concernées sont dotées d’équipes, d’engins et d’équipement
nécessaire à une bonne réactivité face au phénomène de glissement de terrains.
Les surcharges des camions poids lourds : les routes sont conçues pour résister
à un niveau de charge normalisé. Des études ont montré que, de point de vue
impact sur la durée de vie, un camion en surcharge est équivalent à plus d’un
million de véhicules légers. La réglementation interdisant les surcharges permet
de protéger l’état de santé du réseau routier. Le Ministère de l’Equipement et
des Transports renforce le contrôle à l’aide de la construction de nouvelles
stations de pesage.
La pluie : Les experts routiers disent que l’eau est l’ennemi N°1 de la route.
C’est pourquoi l’aspect drainage et assainissement est pris en compte aussi bien
à la phase étude qu’à la phase travaux. Toutefois, les précautions prise ne sont
pas les mêmes. En effet, une route non revêtue est plus sensible à la pluie
d’une autre revêtue. Une route construite avec une couche imperméable de 6cm
(enrobé bitumineux) est certainement plus résistante à l’eau qu’une route
économique ayant un revêtement superficiel de 1 cm d’épaisseur. La gestion
rationnelle du réseau routier dicte une certaine classification des routes pour
choisir la technique la plus appropriée tenant compte d’un niveau de service
acceptable à excellent et du coût puisque les ressources financières ne sont pas
illimitées. D’ailleurs, même dans des pays en Europe plus riches et connaissant
plus de pluie, il existe des routes non revêtues.
Ces considérations et d’autres font que l’activité de l’entretien routier a son
poids dans la gestion du réseau routier.
Le grand public est systématiquement informé des coupures, causées par les
intempéries, par communiqués de presse à la radio et/ou à la télévision. Pendant
la saison hivernal, il est recommandé aux usagers de la route de rester à
l’écoute. Par ailleurs, depuis 1996, la Direction des Routes met en permanence,
une équipe qui répond par téléphone (0537 71 17 17) aux questions des usagers de
la route sur les coupures et réouverture des routes en rase campagne. Ladite
équipe est renforcée durant la saison hivernale.
Les équipes de déneigement travaillent entre les tempêtes pour transporter la neige et en préparation aux tempêtes à venir.
Tous les conducteurs ont un point de départ. Ils doivent d'abord déneiger les
voies de passage principales qui leur ont été assignées, après quoi ils peuvent
entreprendre le déneigement du lotissement. Pour chaque chasse-neige, près de
quatre heures sont nécessaires au déneigement de chaque section. Il se peut que
vous vous trouviez près de la fin de la section assignée au chasse-neige. (à
adapter)
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